Il cultive sur ses terres avec beaucoup de succès et depuis plus de 15 ans le pavot, ainsi que le maïs, l’avoine, le triticale, le seigle, l’avoine mélangé aux pois et à l’herbe, tout ceci pour la station biogaz qu’il exploite. Il cultive également dans ses champs le colza et le blé. Il utilise comme engrais avec succès du lisier ou du digestat. Il emploie quatre autres personnes avec lesquels il gère le fonctionnement de toute sa ferme.
Il y a quatre ans, Monsieur Jiránek a acheté le cultivateur à socs Verso de huit mètres. Il l’utilise avec succès au printemps et à l’automne. Il prépare avec la machine très tôt au printemps le semis de printemps, très souvent à la période où le sol est encore très humide. Notamment le pavot nécessite le semis très tôt au printemps et la préparation rapide du sol.
Le 6 avril 2020, nous avons trouvé M. Jiranek dans les champs, lors de la préparation du sol pour le semis du pavot. Alors que sur le champ voisin, ils préparaient le lit de semence pour la betterave à l’aide du Kompaktomat Farmet, M. Jiranek a opté pour Verso.
Verso ameublit sans problème un sol légèrement sec. Ainsi, il peut facilement semer, mais le sol reste humide à une faible profondeur, ce qui est avantageux pour la germination des graines. Après le passage de la machine Verso, il sème en général le jour même ou le suivant. Ce procédé de plantation a beaucoup de succès. Les plants de pavot semés cette année ont bien levé et présument un rendement élevé.
Dans la région, on trouve notamment des sols lourds que la machine Verso travaille sans problème. Contrairement à une machine de la concurrence, qu‘il possède également, Verso est doté d’un cadre plus solide et massif et capable de maintenir la profondeur et de niveler parfaitement le sol. Il apprécie les lames de nivellement à commande hydraulique ainsi que la profondeur. Il a également essayé de remplacer les dents par des socs plus larges. Ainsi, le sol est plus ameubli et les mottes mieux émiettées. Cependant, la résistance à la traction augmente. En général, il attèle la machine Verso au tracteur de 240 CV, mais si le tracteur de 300 CV est disponible, il opte pour celui-ci. Pour lui, la vitesse optimale doit atteindre au minimum 10 km/h.
Dans le procédé classique des technologies de culture de blé, il utilise le déchaumage double (le premier peu profond et le second plus profond). Ensuite, il réalise le labour classique à l’aide d’une charrue, la préparation du sol avant semis par la machine Verso, le semis et plusieurs pulvérisations pendant la végétation (engrais, protection fongicide).
Après la machine Verso, il a acheté chez Farmet également la machine Digger, la machine permettant d’ameublir le sol jusqu’à une profondeur de 50 cm et capable de mélanger efficacement les résidus végétaux dans le sol. Pour ameublir les endroits compactés au niveau des tournières, il utilise le plus souvent Digger. Il ameublit également les endroits compactés par les roues ou après l’application de lisier ou de digestat. Il utilise le décompacteur Digger pour remplacer le labour au cours d’une année très sèche avec un sol très compact et dur. Il a été nécessaire d’altérer la couche supérieure du sol ; effectuer le labour des terres sableuses sèches n’était pas possible. Le sol a été ameubli par Digger à une profondeur de 25 cm avec application du digestat. Lors du travail avec la machine, il apprécie la possibilité de lever séparément une rangée de socs en fonction des besoins. Le rouleau étoilé est capable d’émietter parfaitement les mottes.
En ce qui concerne les pièces détachées, il profite de sa proximité avec l’entreprise Farmet et les achète directement au siège de Farmet, à Česka Skalice. Il effectue l’entretien standard des machines Verso et Digger. Pour Verso, il a testé non seulement les socs blindés, mais également les socs renforcés à l’aide des plaques en alliage au carbure.